... où la référence ultime est du côté de l'avoir.

De ce point de vue, les systémes collectivistes s'opposent faussement au capitalisme, car ils procédent de la même logique en généralisant la valeur de l'avoir à la propriété collective. 'échange y demeure toujours basé sur l'intérêt et non sur le souci de l'autre qui est pourtant seul à pouvoir fonder une véritable réciprocité conduisant, comme nous l'explique Dominique Temple, à la solidarité et au bien commun.
Ainsi, " la notion de l'être" n'est plus individuelle mais communautaire, pluridimensionnelle. La référence à une entité commune supérieure à celle de l'individu est le " plus être d'humanité" que la réciprocité engendre.

Les Indiens Aché du Paraguay se nommaient " Nous, les vrais Hommes".
Mais < que se passe t-il lorsqu'un Indien entre en contact avec un Occidental ?> "Réciprocité : pour acquérir du prestigeend le moins possible.
C'est ce que Dominique Temple appelle le "quiproquo historique", car chacun ignore les valeurs de l'autre. L'ennui est que le quiproquo fonctionne à sens unique : la dépossession matérielle de l'indien au profit de l'Occidental... qui ne reconnait pas " le plus d'être" de l'Indien !
Voilà comment, florissantes dans les temps précolombiens , les économies indiennes se sont dégradées trés vite à l'époque de la décolonisation pour tomber au seuil de la simple subsistance , souvent même au-dessous : dominées, par une logique d'échange inégal par essence , elles étaient condamnées au sous-développement dès lors que le pouvoir économique de l'Empire était décapité dans le prestige de l'Inca ( l'empereur).

Ajoutons que le Sud est associé à l'air trés étroitement relié à une notion de médiation puisque cet élément a toujours été considéré par les anciens comme un symbole de la relation pouvant exister entre deux réalités. Il s'identifie notamment au souffle qui communique un message et qui demeure le support privilégié de la parole. Ainsi, l'air est l'élément fondamental par lequel l'homme entre en relation avec d'autres et c'est en raison de cela que les signes d'air incarnent tous, en astrologie traditionnelle, une aptitude à communiquer et à échanger. Une absence marquée de ces signes peut même révéler, au niveau d'un théme natal, une difficulté à échanger ou à mettre les choses en relation . Plus encore, avant de nous permettre d'entrer en relation de maniére juste  et généreuse, cet élément nous améne à nous affirmer pleinement. Ne dit-on pas de quelqu'un qui s'afirme avec aplomb " qu'il ne manque pas d'air" et l'expression " se donner des airs" est aussi trés parlante.

Dans une telle perspective , cet élément évoque une aptitude à s'affirmer sans compromission , en dehors de toute prescription et de toute conformité, un enjeu très difficile à assumer. Devant les multiples difficultés qu'implique une telle prise en charge, beaucoup ne tardent pas en effet à éprouver le désir de rentrer dans la norme, même si cela doit les amener à se nier eux mêmes. L'élément Air, symboliquement associé à la liberté - ne disons nous pas " libre comme l'air" - soutient toutefois leur capacité à ne plus taire l'expression de ce qu'ils sont, affirmant au contraire, avec confiance et force, ce qu'ils portent au plus profond d'eux-mêmes. Ainsi, ils peuvent rayonner ce qui les habite, ayant le courage d'affirmer ce qu'ils pensent et ce qu'ils ressentent, sans chercher toutefois à l'imposer à qui que ce soit.

Plus nos valeurs profondes sont exprimées, plus elles s'affermissent et plus elles nous conférent de l'assurance .Nous pouvons alors acquérir une remarquable puissance de rayonnement qui nous permet d'accéder à une certaine autorité, étant plus calme et plus confiant. Des études ont d'ailleurs démontré que les personnes ayant appris à s'affirmer s'estiment davantage et sont moins anxieuses, cela leur permettant de prendre une certaine distance par rapport aux événements et de moins sibir la pression des aléas de la vie. De nombreux psychotérapeutes utilisent même des techniques d'affirmation de soi pour traiter certais patients souffrant d'anxiété sociale, de troubles dépressifs ou de problémes de la personnalité. Il leur devient alors possible de surmonter leurs hésitations et de s'épanouir pleinement, jouissant en outre d'une estime accrue de la part des autres.

Une saine affirmation de soi permet toujours, en effet, de mieux communiquer avec les autres, car nous sommes ainsi portés vers la loyauté et la sincérité, dans la mesure où nous sommes en résonnance profonde avec nos propres valeurs.

L'enjeu du SUD
Nous invite à rayonner, affirmant avec confiance et force ce que nous sommes.
Nous permet de nous impliquer socialement en partageant avec les autres ce que nous possédons.
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( La Roue de Medecine de Payeur : Chemin d'éveil et de croissance personnelle)

Le chardonneret élégant

Il picore partout

Vous le repérerez facilement grâce à ses ailes ornées de bandes jaunes vif et son masque rouge caractéristique. Dès l'automne, il se déplace en bande en quête de nourriture dans les friches où il trouve des plantes désséchées.
nourriture: graines de plantes herbacées, parfois graines d'aulne et de bouleau; il adore les graines de chardon, d'où son nom! en automne, il jette son dévolu sur les asters, oeilletsd'inde, cardéres... en hiver, il mange parfois des cacahuétes et les graines des mangeoires.
habitudes: certains individus partent au Sud pour hiverner pendant que ceux de l'Est de l'Europe prennent leur place; au jardin, il trouve refuge dans les arbres fruitiers, une haie libre ou les thuyas.


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Le pinson des arbres
un copain haut perché

Le mâle a une tête gris-bleu et un ventre rose, la femelle est gris-olive sur le dessus et gris-brun au dessous. Comme son nom l'indique, il passe beaucoup de temps dans les arbres où il aime faire son nid.

nourriture: il se restaure de préférence au sol, avec des graines, quelques baies et jeunes pousses; en été, il picore des insectes; il fréquente les mangeoires où il mange des graines de tournesol, des miettes, et des épluchures.
habitudes: solitaire, défendant son territoire avec fermété en période de nidification, il est plutôt d'instinct grégaire le reste de l'année, notamment au début de l'automne pour chercher de la nourriture.

Croquer la pomme...

C'était un rêve... toujours est-il que je suis morte, alors je me suis réveillée....
Je me suis dit: quand on meurt en rêve, on se réveille. Pardi, c'est normal, puisqu'on ne peut pas imaginer ce qu'il y a aprés la mort!
Et si la vie, c'était tout pareil: oui, peut-être bien que la vie c'est un rêve, et que quand on meurt, on se réveille vraiment.
Pour de bon. Dans la vraie vie.

Enfin, bon: qui peut le dire? On verra ça plus tard, au moment de mourir.(...) Je voudrais savoir à quoi on pense avant de mourir, parce que si on savait ça au moment où on nait, peut-être qu'on vivrait autrement...

Moi je sais déjà que lorsqu'on fait le point sur sa vie, à travers ces milliards de milliards de secondes vécues, ces nombreuses rencontres , tous ces actes , tous ces gestes, on s'aperçoit que les instants qui comptent le plus, qui résonnent le plus longuement dans le dedans, ce ne sont pas les actes de volonté, mais les événements qu'on ne prévoit pas, qu'on ne provoque pas et qui s'infiltrent en nous, comme de l'eau dans la terre, pour fertiliser notre petite graine de vie.

Alors, on s'ouvre, on s'épanouit, on fleurit, on porte des fruits.
La vie devient savoureuse , on a envie de mordre dedans!

C'est de saison!!!

Pour que l'automne ne soit pas monotone et l'hiver moins sévére, c'est dès maintenant qu'il faut faire de votre jardin un petit coin accueillant pour les oiseaux sédentaires.
Petite galerie de portraits et conseils avisés pour cohabiter sans prise de bec...

Voici quelques oiseaux familiers du jardin, qui nous honorent de leur présence tout au long de l'année. A l'automne, leur chant se fait plus rare ( c'est au printemps qu'il est le plus fort, au moment des accouplements), tout au plus entend-on quelques cris. S'ils semblent plus discrets, ces oiseaux sont pourtant bien présents.
(Re) Découvrir quelques uns parmi les plus courants.
S'ils se plaisent dans notre jardin, ils sont besoin aussi d'un petit coup de main pour aborder la mauvaise saison. Dés Septembre, ils vont commencer à se nourrir des baies et graines fournies par les plantes du jardin; puis vous prendrez la reléve en leur offrant une nourriture d'appoint. Sans oublier de nettoyer les nichoirs en place ou d'en installer de nouveaux....

A observer toute l'année!!

La mésange
Belle et confiante


En france, on peut observer six espéces de mésanges, dont deux sont sédentaires et trés populaires: la mésange bleue et la mésange charbonniére.
La premiére a une calotte de couleur bleue tout comme ses ailes et une grande partie de sa queue. La deuxiéme a la tête , la gorge et une cravate noires. Trés hardies, elles s'approchent de la maison, parfois jusque sur le rebord des fenêtres.
nourriture: elles mangent surtout des insectes ( et des araignées pour la charbonniére), mais aussi des graines en hiver, surtout; sur les mangeoires, elles se régalent de graines de tournesols, cacahuétes et matiére grasse.
habitudes: elles nichent dans les trous d'arbres, dans les murs des maisons ,et fréquemment les nichoirs que vous installez à leur intention.

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Le rouge-gorge familier
un fidéle compagnon


Facilement reconnaissable grâce à son plastron orange, c'est l'un des oiseaux les plus familiers du jardin. En principe, il y en a 1 seul par jardin, qui défend sacrément bien son territoire , l'arpentant en tout sens tout au long de la journée, en voletant et sautillant. On l'appelle " l'ami des jardiniers" car il n'hésite pas à venir picorer la terre du potager fraîchement retournée.
nourriture: insectes,vers,araignées; baies et graines en hiver, ainsi que les cacahuétes et la graisse que vous lui fournirez; se nourrit surtout au sol.
habitudes: certains migrent vers le Sud à l'automne , remplaçés par ceux qui viennent du Nord et de l'Est de l'Europe pour hiverner.

Utilitaires ou rituels, ces objets ont été façonnés par des tribus nomades, éprises de liberté et de grands espaces.

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                                                                                                                               Berceau dorsal:
                                                             Chez les Shoshones (ex.)la
mère portaitle bébé sur son dos, dans un couffin en osier et en peau qui l'abritait du froid

Mocassins en daim:

Hommes et femmes chaussaient ces

mocassins , décorés de perles de verre coloré

 
    

     
Couvertures navajos:
la chaine de ces couvertures du 19e siécle est en fil
de coton, la trame en laine ; les tisserands navajos ont repris
des Mexicains le motif diamant ci-contre.















Canoë: cette embarcation légére est en écorce de bouleau,montée sur armature de cédre. De la résine de pin noir assure son étanchéité...









Vêtements de peau : le perlage demandait
des heures de travail minutieux ,
des broderies en porc épic élaborées ...























Hochet de chaman: Chez les Haïdas, l'homme-mdecine agitait un hochet en bois à tête de faucon pour invoquer les esprits...







                      
       Raquette de chasseur: 
imitant une patte d'ours, de larges
semelles  à tamis en laniéres de peau 
permettaient de traquer le gibier sans 
s'enfoncer dans la poudreuse... 












     








  Une multitude de sacs, sacoches, pare-fléches, carquois.... le tout en peau, brodés et/perlées....


     EN HARMONIE AVEC LA TERRE