17 mars 2009
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14:46
La saison de l'année
L'Est est mis en rapport avec le printemps , une saison principalement marquée par le réveil de la nature qui était jusqu'alors endormie. Dépouillés de leurs feuilles au cours de l'automne, les arbres reverdissent grâce aux températures plus clémentes, aux pluies fréquentes et au soleil dont le rayonnement se fait plus présent et plus puissant.
La séve descendue dans leur tronc remonte et les bourgeons , demeurés fermés tout l'hiver, s'ouvrent pour que de nouvelles feuilles fassent leur appartion, grandissent et s'épanouissent.
Certains arbres fruitiers s'éveillent en laissant d'abord apparaître des fleurs qui sont ensuite emportées par le vent, laissant place à de jeunes feuilles. Les prairies et les champs , quant à eux, se recouvrent de fleurs et d'une herbe tendre, un plaisir pour les animaux herbivores.
Ainsi, le printemps incarne un nouveau départ, soutenu par une activité céleste clémente qui prodigue à la nature toutes les ressources dont elle a besoin.
En Amérique du Nord, c'est l'époque où l'on produit le sirop d'érable , c'est le "temps des sucres" , comme on disait autrefois. Or ce sont les premiéres nations qui ont développé l'art d'extraire la séve de l'érable et de la concentrer.
A l'approche du printemps, au moment du retour des grandes oies migratrices, les Amérindiens quittaient leurs villages et chaque famille allait camper dans les érabliéres. C'était la lune du sucre que les Abénakis nommaient " sogalikas". C'est aux femmes que revenaient la tâche d'entailler les érables , alors que les arbres avaient encore les pieds dans la neige.(.... )
C'est à l'écureuil roux que la légende attribue l'idée d'extraire ainsi l'eau d'érable , une idée qu'il aurait ensuite communiquée à Wabanaki qui l'aurait transmise aux hommes.
Tout ceci est fort interessant dans la mesure où le sucre est un aliment hautement énergétique , utilisé de maniére préférencielle par les cellules de l'organisme.
Les Amérindiens connaissaient trés bien les propriétés caloriques et nutritives de cet aliment .... Le sucre est également une grande source de plaisir, une expérience aussi intimement liée à l'Est. Le plaisir associé à la consommation du sucre semble relever d'une disposition innée, ou trés précocement acquise ...... Il est également hautement énergétique en lui-même , car il stimule notre énergie et notre envie de vivre. Déguster une pointe de tarte au sucre d'érable peut nous dynamiser sur le chemin d'une plus grande plénitude.
Cet exemple vous déçoit.......... ( ?)
Quelle banalité me rétorquerez vous , ce type de plaisir vous paraissant primaire et futile! Vous vous dites sans doute qu'un tel plaisir ne fera que passer ! MAis les véritables aspirations du coeur sont toujours beaucoup plus simples qu'on ne le pense, et ce <petit plaisir> peut être l'occasion d'accéder à une énergie qui nous met en marche sur le chemin du bonheur.
En effet, il est absolument impérieux de redécouvrir le véritable sens du plaisir car < le plaisir développe, accomplit, perfectionne >. L'expérience de la délectation est source d'ouverture......................
L'Est est mis en rapport avec le printemps , une saison principalement marquée par le réveil de la nature qui était jusqu'alors endormie. Dépouillés de leurs feuilles au cours de l'automne, les arbres reverdissent grâce aux températures plus clémentes, aux pluies fréquentes et au soleil dont le rayonnement se fait plus présent et plus puissant.
La séve descendue dans leur tronc remonte et les bourgeons , demeurés fermés tout l'hiver, s'ouvrent pour que de nouvelles feuilles fassent leur appartion, grandissent et s'épanouissent.
Certains arbres fruitiers s'éveillent en laissant d'abord apparaître des fleurs qui sont ensuite emportées par le vent, laissant place à de jeunes feuilles. Les prairies et les champs , quant à eux, se recouvrent de fleurs et d'une herbe tendre, un plaisir pour les animaux herbivores.
Ainsi, le printemps incarne un nouveau départ, soutenu par une activité céleste clémente qui prodigue à la nature toutes les ressources dont elle a besoin.
En Amérique du Nord, c'est l'époque où l'on produit le sirop d'érable , c'est le "temps des sucres" , comme on disait autrefois. Or ce sont les premiéres nations qui ont développé l'art d'extraire la séve de l'érable et de la concentrer.
A l'approche du printemps, au moment du retour des grandes oies migratrices, les Amérindiens quittaient leurs villages et chaque famille allait camper dans les érabliéres. C'était la lune du sucre que les Abénakis nommaient " sogalikas". C'est aux femmes que revenaient la tâche d'entailler les érables , alors que les arbres avaient encore les pieds dans la neige.(.... )
C'est à l'écureuil roux que la légende attribue l'idée d'extraire ainsi l'eau d'érable , une idée qu'il aurait ensuite communiquée à Wabanaki qui l'aurait transmise aux hommes.
Tout ceci est fort interessant dans la mesure où le sucre est un aliment hautement énergétique , utilisé de maniére préférencielle par les cellules de l'organisme.
Les Amérindiens connaissaient trés bien les propriétés caloriques et nutritives de cet aliment .... Le sucre est également une grande source de plaisir, une expérience aussi intimement liée à l'Est. Le plaisir associé à la consommation du sucre semble relever d'une disposition innée, ou trés précocement acquise ...... Il est également hautement énergétique en lui-même , car il stimule notre énergie et notre envie de vivre. Déguster une pointe de tarte au sucre d'érable peut nous dynamiser sur le chemin d'une plus grande plénitude.
Cet exemple vous déçoit.......... ( ?)
Quelle banalité me rétorquerez vous , ce type de plaisir vous paraissant primaire et futile! Vous vous dites sans doute qu'un tel plaisir ne fera que passer ! MAis les véritables aspirations du coeur sont toujours beaucoup plus simples qu'on ne le pense, et ce <petit plaisir> peut être l'occasion d'accéder à une énergie qui nous met en marche sur le chemin du bonheur.
En effet, il est absolument impérieux de redécouvrir le véritable sens du plaisir car < le plaisir développe, accomplit, perfectionne >. L'expérience de la délectation est source d'ouverture......................
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